Comme dans un coffre à bijoux
Je suis au travail, une envie de soleil et d’éclat vient de m’atteindre. Je repense à cette lumière l’autre jour, à sa couleur dorée, à l’effet qu’elle faisait. J’ai eu l’impression de me trouver au milieu d’un coffre aux trésors plein d’or. L’autre côté était à l’ombre, j’étais dans la lumière (ça fait très spirituel ça 😉 ) En pensant à cet instant, j’ai recherché une autre photo, une qui me faisait penser aux pendentifs, ceux que la nature crée avec tant de goût. J’ai dû retourner jusqu’au mois de novembre car depuis, la nature a posé ses brillants, elle fond sous la douceur du climat et n’a pas revêtu une seule fois ces bijoux là. Approche, soulève le couvercle du coffre et regarde…
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1- L’or****
2- Breloques natures
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Sortez les mitaines
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Un petit tour au bout de la route, là où les montagnes la stoppent. Moi, je n’ai pas su saisir la beauté du contraste entre la partie ensoleillée et la partie de l’ombre, pourtant c’était splendide. Le froid, la neige en première ligne et derrière l’automne sans neige au soleil, comme si deux saisons vivaient côte à côte, ce qui arrive lorsque le froid et la douceur sont à égalité. Bientôt, selon la logique, le froid mènera la danse et la douceur du soleil ne sera là que pour atténuer sa morsure. Ce matin, la neige pose une légère couverture en attendant de mettre le gros édredon blanc 😉****
1- Rayons****
2- Encore et toujours le Tenneverge****
3- Survivant de l’ombre****
4- Suspension éphémère****
Merci pour la balade Kévin…Faits d’hiver en forêt
Alors que mes pas écrasaient le sol comme une cuillère sur un feuilleté au chocolat, que le soleil passant à travers les hauts arbres nus m’enveloppait d’une douce et timide chaleur, il m’a surpris !
Je ne pensais le trouver là car il ne restait que des miettes de son passage. Plus de neige, ciel bleu, relative douceur, et pourtant il était là, à la sortie d’un filet d’eau. Il m’a stoppé dans mon élan, je me suis arrêtée et j’ai admiré son travail…
Avec une douceur incomparable, une fluidité évidente, il a enrobé les brins d’herbe, tout en leur donnant des formes propres à la saison qu’il représente.
L’artiste est là, à me donner un sourire quand je vois son travail, même dans une banale sortie en forêt. Pas besoin de le citer, vous l’avez reconnu. Nul ici n’échappe à sa présence.
Seule différence, certains l’aiment, d’autres le maudissent.
Moi, j’aime l’Hiver…
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