Quand l’une modèle l’autre
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La suite, c’est parce que j’aime Paul Eluard et que de parler d’eau m’a fait penser à ça : Tu te lèves…
Tu te lèves l’eau se déplie
Tu te couches l’eau s’épanouit Tu es l’eau détournée de ses abîmes
Tu es la terre qui prend racine
Et sur laquelle tout s’établit Tu fais des bulles de silence dans le désert des bruits
Tu chantes des hymnes nocturnes sur les cordes de l’arc-en-ciel,
Tu es partout tu abolis toutes les routes Tu sacrifies le temps
À l’éternelle jeunesse de la flamme exacte
Qui voile la nature en la reproduisant Femme tu mets au monde un corps toujours pareil
Le tien Tu es la ressemblance Paul Eluard (Facile) 1935
Tu te couches l’eau s’épanouit Tu es l’eau détournée de ses abîmes
Tu es la terre qui prend racine
Et sur laquelle tout s’établit Tu fais des bulles de silence dans le désert des bruits
Tu chantes des hymnes nocturnes sur les cordes de l’arc-en-ciel,
Tu es partout tu abolis toutes les routes Tu sacrifies le temps
À l’éternelle jeunesse de la flamme exacte
Qui voile la nature en la reproduisant Femme tu mets au monde un corps toujours pareil
Le tien Tu es la ressemblance Paul Eluard (Facile) 1935
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