Une façon de partager, tout en pensant : Ce qui te manque, cherche-le dans ce que tu as

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Matin entre gouttes

Pluie de nuit, soleil et nuages le matin, pluie dès midi; ce qui ne laisse guère de possibilités si l’on veut profiter d’un temps sans goutte, dans l’hypothèse que les prévisions météorologiques ne soient pas fausses.
Le réveil sonnera donc à la limite de la nuit et du jour, enfin encore une expression car ce n’est plus le réveil qui sonne, c’est le portable qui nous éveille en douceur.
Quand je pense au réveil de mon enfance… pas étonnant qu’il y ait des stressés de nos jours car il fallait l’endurer le réveil qui faisait autant de bruit que la sonnerie d’un passage à niveau et qui faisait faire un bon de cinquante centimètres dans le lit.
Bon, pour moi, pas de séquelle, mais il me faut malgré tout un réveil en douceur si ce n’est pas le jour qui joue ce rôle là.
Je m’égare, on file vite dehors profiter d’un ciel sans pluie.
Nous sommes allés « regarder voir ». Quoi?
Nous sommes allés regarder ce qu’on allait voir, c’est simple.
Il a beaucoup de personnes qui ne regardent pas ce qu’elles voient. Nous, on aime regarder ce que l’on voit, mais on ne voit pas toujours ce qui nous regarde.
Pour exemple, un renard qui nous observait tranquillement dans les hautes herbes.
C’est marrant, il n’y a qu’une lettre entre regard et renard et sur ce coup nous n’avons pas su gérer la simplicité de cet écart. Une fois aperçu, il a disparu.
Nous avons donc profité de ce matin avant le retour de la pluie le midi.
Hier, des gens m’ont dit qu’il avait été triste ce dimanche pluvieux.

Moi, je l’ai trouvé heureux ce dimanche car pour les bonnes choses, il faut se donner les moyens en s’offrant le maximum de possibilités pour saisir le bel instant et il y a toujours une façon de trouver du bon dans une journée pluvieuse, même très pluvieuse 🙂

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11- Premiers et rares rayons de la journée

 

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22- Prairie trempée

 

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33- Ancolie d’ici

 

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dessous

4- Les dessous de la grande

 

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grande astrance

5- Au-dessus de la Grande Astrance

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6- Chien de prairie humide

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7- Amour perlé chez les gazés

 

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7

8- Tout ne tient pas toujours qu’à un fil…

 

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9- Une autre définition pour l’amour volage 

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10- Ombre contre le jour

 

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Je suis au boulot, encore une semaine de calme avant l’affluence.
Ma pensée du moment : et si on aimait ce que l’on a au lieu d’attendre d’aimer ce que l’on aura.
Là, je pourrais m’ennuyer en me disant que je suis au boulot à ne rien faire.
Ça serait nul comme instant alors que beaucoup d’entre vous n’ont pas le temps de se poser tranquillement, alors qu’il y aura des jours où je n’arrêterai pas (ce que j’aime).
Pourquoi gâcher un moment parce que l’on voit les choses de la mauvaise façon?
Donc, je vais aimer (enfin essayer d’apprécier) ces instants calmes en prenant le temps ou plutôt en disposant du temps car je n’aime pas prendre.
Je me sauve, je vais me faire un thé, regarder les nuages passer en ayant une pensée pour tous ceux qui aimeraient prendre une pause 😉
euh? oui, je suis payée en plus à faire ça.


Sur un fil

 
 
Parce que j’aime les perles, je me suis arrêtée sur cette toile.
Perles éphémères ou perles en parure, toutes suivent le fil.
De fil en aiguille, sous les sapins, elles s’accrochent pour capter la lumière
et refléter le monde.
Le rêve pour moi n’est pas d’avoir une rivière de diamants autour du cou,
mais un collier de perles de pluie pour porter la beauté du monde.
 
 
 

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perles

1-

 

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perles 2

2-

 

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collier
3-

 

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perles 3
4- Couleurs du temps
 

 

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Deux filles au pays des gouttes de pluie

 

Edwige et moi avons rarement deux jours consécutifs de repos ensemble en été sauf ce week-end avec le 14 juillet.  Bien évidemment, inutile de réfléchir à la façon dont nous allions profiter de ces deux jours de liberté. C’est deux jours en montagne à dormir sous les étoiles, enfin, c’est ce que nous aurions voulu, voir les étoiles.
Ça devait être deux jours à frôler le ciel en montant sur les sommets. Ce fut bien plus qu’une sensation d’effleurement et  sans avoir à monter vraiment car le ciel nous est carrément tombé sur la tête.
Nous sommes allées à sa rencontre au début, pour  vite nous rendre compte qu’il n’y avait pas besoin de monter pour se présenter à lui. Il descendait lui même à notre rencontre. Courtoisie dont nous nous serions bien passées.
Le but de notre rando était de monter pour l’atteindre et non qu’il nous court après. Quand le ciel décide de se présenter c’est pour nous envelopper de sa masse de nuages, et nous immerger dans un monde froid et humide alors que si c’était nous qui avions été à sa rencontre, ça aurait été dans des conditions tout à fait différentes.
Nous serions montées à lui,  accompagnées par le soleil en tentant de monter de plus en plus dans le bleu de son espace. Le ciel a sa place où il resplendit et lorsqu’il décide de la quitter, ça opère sur lui une métamorphose pas forcément agréable.
Je le préfère distant, bleu et haut, plutôt qu’aimant, bas et froid, mais ça, ce n’est pas nous qui choisissons. C’est encore lui le maître.
Son élan d’affection nous a freiné dans notre sortie. Passer la nuit dans notre tente,  dans le brouillard sans rien voir du monde qui nous entourait ne nous emballait pas vraiment surtout en ayant des doutes sur la météo du lendemain. Nous avons donc décider de le quitter en descendant à l’étage inférieur, sous la couche de nuage où un temps instable nous offrait quand même de la visibilité et une température plus agréable.
Nous nous sommes trouvées un petit coin pour passer la nuit, bien moins perdu où nous espérions échapper au monde des nuages instables.
Ce qui compte c’est d’avoir de l’espoir et ça, ça rend heureuses les deux filles que nous étions 🙂
 
 

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21-Direction les nuages

 

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42- Crête des gittes

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133- Victoire du blanc sur le vert

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bouquet4-Asters des Alpes aux perles de pluie

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65-Levé de rideau

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156- Gentianes de koch et gentianes champêtres

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167- Anémone pulsatile en graines

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198- Lumière du soir. Espoir ou déboire?

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hotel9- Hôtel hors catégorie

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Le lendemain sera un autre jour 😉
 

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L’écume de l’herbe

C’est certain, il ne s’agit pas d’aujourd’hui mais de mercredi dernier. Contraste énorme d’une semaine à l’autre. Aujourd’hui le champ est une immense vague blanche et mouillée, ce qui pourrait être logique pour une vague mais j’avoue préférer la vague blanche, sèche, qui ondule sous les caresses du vent en libérant de bonnes effluves.
En attendant le retour du soleil, je me retrouve ici à pianoter sur mon clavier tout en scrutant l’évolution du temps à travers la fenêtre. Les sommets sont cachés par les nuages qui dessinent une parfaite ligne droite gommant tout ce qui existe au-dessus d’elle.
Je patiente encore et lorsque viendra l’instant où la météo n’aura plus d’importance face à mon envie de sortir, je me chausserai, me couvrirai pour aller lui rendre visite. Rendre visite à qui? à dehors bien sûr.
S’il pleut encore, je sentirai sur ma capuche les clapotis des gouttes qui atténueront tous les autres sons me plongeant dans un univers à part, mes mains seront bien au fond de mes poches et j’avancerai tranquille en me disant que j’aurai dû sortir bien avant, sans  attendre que la pluie cesse  parce qu’ici, à cet instant, je suis bien laissant mon esprit s’envoler ailleurs, là bas un peu plus loin…
Zut, je me suis si bien raconté ce que ça allait être, que je vais me sauver maintenant, je ne vais pas attendre, repoussant une chose agréable, alors je me sauve me promener malgré la pluie 🙂
 
 

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champ fleuri1- Dans le blanc du vert
 
 
 

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envol des mots2-Invitation à se poser
 
 
 

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Sans titre-13- Prendre la vague
 
 
 

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rhingie champêtre4- Rhingie champêtre
 
 
 

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cahier5-  A ciel ouvert
 
 
 

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Temps pluie pour moi

 
Dans la nuit de lundi à mardi, entendre la pluie frapper contre le volet et au petit matin se réveiller avec cette petite lueur dans ciel qui  tente un passage entre les nuages gonflés tout gris, c’est comme un petit cadeau, une surprise qu’il faut saisir au plus vite.
Debout rapidement, baskets aux pieds et Louna à mes côtés, nous voilà parties pour nous dépenser un peu afin de bien commencer la journée. 
L’éclaircie fut de courte durée mais nous n’avons pas fondu sous la pluie, c’est déjà une chose. 
Retour à la maison. La pluie s’impose et efface toutes traces d’éclaircies ou d’espoir.
Voir à nouveau une lueur pointer le bout de son nez, se couvrir, mettre ses grosses chaussures et sortir. Se dire que c’est génial un instant sec dans la journée sombre et si humide.
Prendre le chemin qui mène à « ma bibliothèque »
(ma bibliothèque est un lieu que j’ai dédié à la lecture en plein air, face au cirque dans les hautes herbes fleuries en été ou sur la neige quand le soleil chauffe en plein  hiver)
Chercher les arbres enlacés, les trouver et chercher l’écureuil qui vit ici 😉 Écouter, regarder au sol, lever les yeux sur les cimes des arbres, chercher de branches en branches et sentir à nouveau des petites pressions fraîches et humides sur mes joues. Là, sourire en se disant que le temps est le maître et que je suis son jouet aujourd’hui.
Qu’importe, je suis là, autant continuer à jouer avec lui.
Continuer un peu le chemin, juste pour voir si la montagne voudra se dévoiler un peu et dans quel état d’esprit elle va se trouver. Elle est là, derrière les nuages en se laissant entrevoir par instant comme pour aguicher, pour donner envie de la découvrir un peu plus. Elle offre une ombre, un éperon rocheux ou même le temps d’une bourrasque, elle s’offre entière pour ensuite se recacher derrière le rideau de nuages.
Peut-être que ce sont eux qui ne veulent pas la laisser à la vue de tous, qui sait?
Se décider à rentrer, mais doucement, pour montrer au temps que jouer avec lui est un jeu et que ces tentatives décourageantes ne me toucheront pas aujourd’hui.

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NN
1- Ornée de nuages
 

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Sans titre-1
2- Épaule découverte
 
 
 

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pudique3- Mutine
 
 
 

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ail des ours
4- Ail des ours en fleurs
 

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fourmi en coeur de fleur
5- Abri
 

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à fleur de feuille
6- A fleur de feuille

 

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« La vie ce n’est pas d’attendre que les orages passent, c’est d’apprendre à danser sous la pluie ».

Au fil du Hérisson

 
Tu viens, une petite sortie sous la pluie dans un petit écrin de verdure te tente? Non? Alors installe toi et regarde.
On continue dans nos découvertes jurassiennes…
Je ne peux t’offrir que quelques photos en te laissant imaginer le son, fort, puissant auprès des cascades; le murmure plus discret et doux le long du ruisseau.
La pluie ruisselle mais d’une certaine façon, elle n’enlève rien au charme de l’instant. Elle se rappellera à notre souvenir avec de belles taches sur l’objectif et sur les photos. D’une certaine façon, nous avons pu saisir la pluie.
Une pensée pour ceux qui ont partagé ces instants là avec nous 😉
 

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écrin vert

1- Dans son écrin vert

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murmure2- Murmure

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DD

3- Succession blanche

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1

4- Paillettes d’or

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Il fallut bien du temps pour que  Christopher McCandless, obstiné et n’ayant que l’Alaska en tête, s’aperçoive ce qu’était le véritable bonheur.
Il lui fallut trop de temps pour le découvrir, il écrivit ces mots sur un livre juste avant de mourir :

« Le bonheur n’est réel que lorsqu’il est partagé »

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Route

 
La route, peut-être un nouveau chemin, ou une continuité.
C’était mon chemin, aujourd’hui j’ai envie de prendre un sentier et demain qui sait lequel j’emprunterai…
Je sais où je veux aller, et de quelle façon je ne veux pas m’y rendre 😉
Qu’importe le temps pour atteindre ce dont j’ai envie. Le fait de cheminer en son sens, quelques soient les chemins empruntés, est le plus important.
Désirer, s’employer à atteindre un but n’est-il pas plus important que le but lui même? 
A moins que la finalité d’un but à atteindre soit le chemin parcouru…
La route. Il y a celle à prendre et celle que l’on prendra.
 

 

1- Route d’automne
 
 
 

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La route que je n’ai pas prise
 
Deux routes divergeaient dans un bois jaune ;
Triste de ne pouvoir prendre les prendre toutes deux,
Et de n’être qu’un seul voyageur, j’en suivis
L’une aussi loin que je pus du regard
Jusqu’à sa courbe du sous-bois.
 
 
Puis je pris l’autre, qui me parut aussi belle,
Offrant peut-être l’avantage
D’une herbe qu’on pouvait fouler,
Bien qu’en ce lieu, vraiment, l’état en fût le même,
Et que ce matin-là elles fussent pareilles,
 
 
Toutes deux sous des feuilles qu’aucun pas
N’avait noircies. Oh, je gardais
Pour une autre fois la première !
Mais comme je savais qu’à la route s’ajoutent
Les routes, je doutais de ne jamais revenir.
 
 
Je conterai ceci en soupirant,
D’ici des siècles et des siècles, quelque part :
Deux routes divergeaient dans un bois ;
Quant à moi, j’ai suivi la moins fréquentée
Et c’est cela qui changea tout.
 
robert frost
 
 
 

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Gris, noir, des espoirs

 
Il  y a ces jours gris, ceux qui semblent vous coller à la peau, qui semblent ne plus vouloir vous lâcher, ces jours qui auraient vite fait de vous plonger dans la torpeur, dans le laisser aller, dans le « bougonnisme » .
Ces jours là ont, malgré leur apparence, de la couleur, des traces de chaleur, ont de quoi nous ravir.
Oui c’est gris et alors?! ça pourrait être noir, sans lumière 😉
Ailleurs il faisait beau, ici, il pleuvait. Ailleurs la neige était poudreuse, ici c’était de la soupe. Ailleurs le soleil était caressant, là l’humidité transperçait, mais voilà, c’est là que j’étais et j’ai bien aimé.
Un jour, il fera beau à nouveau…
 

****2

1- Toits  

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1 (5)

2- Approche

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Certains d’entre vous disent que la joie est plus grande que la tristesse ; et d’autres disent que c’est plutôt la tristesse qui est plus grande. Mais je vous dis qu’elles sont inséparables. Elles marchent ensemble, et quand l’une est assise seule avec vous à votre table, n’oubliez pas que l’autre sommeille dans votre lit.
 
Quand le bonheur vous fait signe
[ Khalil Gibran ]
 

La pluie rime aussi avec vie

L’autre jour, je vous présentais celle que j’appelais « la larme sur la joux ».
Aujourd’hui, je vous la montre sous un autre aspect. Quelques jours seulement séparent les photos et surtout énormément de pluie.  Quand je vous disais qu’elle était forgée par la météo, en voici un exemple.
J’ai eu du mal à garder l’objectif au sec et je vous laisse imaginer le vacarme qui va avec ces photos.
Ça brasse, j’adore.

1- Chemin faisant, chemin glissant

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2- Déchaînée
 
 
 

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3- Brumisateur
 
 
 

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4- Simplicité

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Pluie

 
Lundi pause du midi
Il pleut, tant pis
J’y vais, tant mieux
 
 
 
1- Plic plac ploc
 

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2- Ponton
 

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3-  Point de guet
 

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4- En suspend
 

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Il pleut, il mouille c’est la hum hum en ouille…

 

1- Pudeur dominicale et matinale
 
Le soleil fait preuve de pudeur au réveil, il se cache derrière les nuages. Je devrais rectifier, il était aguicheur hier matin, car ce furent les seuls rayons qu’il nous laissa entrapercevoir de la journée.
Depuis, il est totalement caché, éclipsé,  comme s’il avait fait ses valises. La pluie a pris la relève, aidée du vent, ce qui va donner une riche et intense couleur verte à la végétation. Il y en a qui vont nous envier, comme toujours 😉
Tout ça n’est qu’un aparté, pour signifier que le temps est pourri alors que je suis dans ma semaine de vacances « spéciale montagne » .
Le programme tombe à l’eau, c’est le cas de le dire. Je bous intérieurement, mais je ne le fais pas voir.
😉 Je sais ça risque de se remarquer quand même, mais je crois m’améliorer là dessus, et puis, j’ai un bon coupe-vent imperméable pour sortir, ce  qui évitera la « surchauffe » de la non-activité 🙂
 

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2- Un peu de douceur au passage
 

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3- Jasione
 

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4- Syrphe ou tite bête à bisous
 

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5- Couleurs de beau temps.
    Ça va peut-être colorer le ciel aujourd’hui…
 
 

 


Après la pluie, la magie opère

1- Invitation
 
 
 
 
2-Dans l’antre magique
 
 
 
 
 
3- Ancolies pourpres en boutons ou châpeaux de lutins
 
 
 
 
4-  En suspens
 
 
 
 
 
5- Perles de pluie
 
 
 
 
5- Onirisme bleu
 
 
 
Hier, journée très très pluvieuse. J’ai profité d’une accalmie pour aller respirer les bois.
Lieu magique pour moi.
J’espère que la magie opère sur vous aussi…
 
 
 
 

En touchant les nuages

 

1- En bas, la rareté, une éclaircie

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2- Mise en condition (féminine), en route vers les nuages

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3- L’autre monde

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4- Fuite nuageuse

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5-Gentiane printanière

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6- Gentianes de Koch

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J’avais le choix, en bas avec quelques rayons solaires ou en haut à frôler les nuages dans la pluie et la bruine.
Le soleil, la chaleur me manquent et chose inexplicable, j’ai choisi les nuages…
Je me suis retrouvée au milieu de nulle part, enrobée de nuages, avec des lueurs furtives. 
Personne, mon chien, une atmosphère étrange. 
N’est-ce pas une petite description du bonheur en quelque sorte?
J’aimerai quand même partager une autre vision du bonheur la prochaine fois, sous le soleil.
Le bonheur a tellement de facettes…
 


A chaque jour, son réveil…

 Jeudi
Chardonneret élégant ou réveil chantant
 
 

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Vendredi
Cha(n)tons sous la pluie  ou
Faisons que chaque matin soit l’éveil d’un nouveau rêve, que le rêve éveille en nous celui qui pourrait dormir et s’oublier…
 

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« Se réveiller, c’est se mettre à la recherche du monde »
 Alain

Ainsi pleut-il

1- Perles rosées

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2- Grappes fleuries

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3- A rosée

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Dans la grisaille extérieure d’un dimanche
Nulle trace de couleurs
Sauf ces grappes en branches
Pour apporter quelques douceurs
 
 

Perles de vie

1- Pleurésie
 
La terre serait-elle malade en ayant des poumons plein d’eau? ou serait-ce simplement une pluie battante sur ma fenêtre?  Réveil humide, ça c’est certain.
 

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2-Voyageuses
 
Des voyageuses se sont posées sur ma fenêtre
Peut-être, sont-ce celles qui un jour, ont glissé sur ta joue
Ou bien, celles qui furent désirées, alors qu’elles n’étaient que nuage, dans le désert…